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Les 3 tendances du secteur AEC en 2023

Les 3 tendances du secteur AEC en 2023

La numérisation du secteur AEC (architecture, ingénierie et construction) progresse à grands pas. En 2023, les entreprises de construction seront amenés à transformer leur modèles opérationnels avec pour objectif de renforcer la compétitivité et faire face aux défis de la décarbonisation. Afin de soutenir l’efficacité, la durabilité, l’innovation, ainsi que la réduction des risques commerciaux, le flux de travail doit devenir plus connecté, automatisé et, surtout, axé sur les données. Voici les trois tendances à suivre en 2023 :

1. Le Cloud est la réponse à l’efficacité et à la réduction des risques

Les entreprises de construction ont toujours dû faire face à de nombreuses variables inconnues, elles sont par conséquent confrontées à un niveau de risque élevé. Les défis récents ont confirmé l’importance de gérer ces risques et d’atténuer l’impact de l’imprévu. Simultanément, le concept « net zero » s’est imposé comme une priorité et le changement climatique est un des problèmes les plus urgents de notre époque, un problème qui requiert des efforts immédiats et un engagement à long terme. La réponse à la plupart de ces défis est le « Cloud ». Les plateformes basées sur le Cloud avec des solutions de bout en bout créent une expérience unifiée et peuvent fournir les bonnes informations aux bonnes personnes et au bon moment.

La collaboration a longtemps été entravée par des outils et logiciels qui ne communiquaient pas entre eux, ce qui causait des pertes de données et des erreurs de communication. Grâce au Cloud, ces méthodes de travail inefficaces relèvent enfin du passé. Une plateforme de collaboration unique apporte plus de valeur à chaque partie prenante tout en soutenant l’impact environnemental et commercial.

Une plateforme basée sur le Cloud garantit que les données circulent en permanence entre chaque équipe et à chaque étape du cycle de vie du projet – depuis les plans initiaux jusqu’à l’entretien du bâtiment. Avec un accès en temps réel aux informations et aux données, les équipes sont en mesure de corriger et de prendre des décisions sur la base d’informations actualisées. L’efficacité qui en résulte permet de gagner du temps pour plus de projets, de respecter les délais, d’éviter les erreurs coûteuses et de réaliser les projets de façon plus durable.

2. Ouvrir la voie à de nouvelles façons de penser et de travailler

La transformation numérique s’accélère et de nouvelles technologies apparaissent sans cesse. Mais les grands bâtiments sont une œuvre collective. Sans une main-d’œuvre solide, rien ne peut réussir. Chaque entreprise doit s’assurer que les gens ont les connaissances (et les outils) requis pour adopter un mode de travail plus efficace et plus durable.

Lors de la mise en place d’une nouvelle technologie, il est crucial de consacrer suffisamment de temps et de ressources au processus. Le déploiement d’un nouveau logiciel change non seulement les flux de travail, mais aussi la façon de penser et de travailler. Un temps d’adaptation sera nécessaire, mais avec une formation adéquate et un peu de patience, le jeu en vaut clairement la chandelle. Le changement peut rencontrer une résistance dans n’importe quelle organisation. Il est donc indispensable d’impliquer toutes les parties prenantes dès le début, lors du processus de sélection de la technologie.

En voyant que leur feedback a été pris en compte, les employés de l’organisation se sentiront plus engagés dans le processus, et seront donc plus enclins à adhérer au changement. Comme les entreprises adoptent les nouvelles technologies pour gagner en efficacité, cela les met également en bonne position pour réaliser leurs ambitions climatiques.

3. Travailler à un avenir durable

Le Jour du dépassement de la Terre, c’est-à-dire la date à laquelle l’humanité a épuisé toutes les ressources biologiques que la Terre a créées au cours de l’année, est un bon repère pour suivre l’évolution de la crise climatique. La mauvaise nouvelle, c’est que ce jour arrive de plus en plus tôt au fil des décennies. Il y a 50 ans, le Jour du dépassement de la Terre était atteint le 14 décembre 1972, alors qu’en 2022, il tombe le 28 juillet. C’est le reflet du fait que consommation humaine dépasse de loin ce que la Terre peut régénérer chaque année.

La réduction des émissions de CO2, ou décarbonation, est incontournable pour ralentir le changement climatique. Et pour y parvenir, la technologie va jouer un rôle essentiel en fournissant les outils nécessaires. Au fur et à mesure que les entreprises AEC adopteront des pratiques durables et utiliseront les données pertinentes pour suivre, mesurer et réduire les émissions et les déchets, elles auront un impact positif à long terme. Et tout le monde est bien conscient que préserver la planète est également bon pour les affaires.

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