Les atouts d’un entrepreneur général spécialisé en parachèvement

Wycor se démarque de la concurrence en se présentant comme un entrepreneur général (classe 8) spécialisé dans le parachèvement. Avec plus de 40 ans d’expérience, l’entreprise s’est d’abord développée en Flandre (Wetteren) avant de s’implanter à Loyers (Namur), il y a trois ans. L’entreprise se distingue par son approche atypique sur le marché belge, en proposant des services de menuiserie bois et mobilier fixe sur mesure, épaulés par un département d’ingénierie interne. Wycor se positionne également comme un acteur engagé dans la durabilité, en mettant en œuvre des pratiques et des matériaux respectueux de l’environnement.

Benoît Marcin, directeur adjoint Wallonie-Bruxelles : « Historiquement, l’entreprise a évolué d’une menuiserie traditionnelle à une entreprise globale de parachèvement sous l’impulsion du marché hospitalier en Flandre, avant d’étendre son champ d’action aux écoles, bureaux, … pour finalement devenir une entreprise générale centrée sur le parachèvement. Nous intervenons donc généralement en direct pour le maître d’ouvrage et non en sous-traitance. Plus de 80% de nos chantiers sont des marchés publics. Récemment, nous avons ajouté une corde à notre arc, en nous lançant dans l’ossature bois sur-mesure, avec une équipe dédiée. »

Wycor dispose de business units (menuiserie intérieure, menuiserie extérieure, cloisons, mobilier, …) qui travaillent en direct pour un maître d’ouvrage quand il s’agit de lots distincts ou pour Wycor en tant qu’entrepreneur général. Détentrice d’une classe 8 pour toutes ses activités, l’entreprise générale exécute des marchés de toutes tailles, de 500 000 à 50 millions d’euros.

Un département ingénierie fort d’une vingtaine de collaborateurs fait la liaison entre le maître d’ouvrage, l’architecte et le bureau d’études d’une part, et l’équipe d’exécution sur chantier d’autre part. Un atout majeur pour la maîtrise du projet, comme le confirme Johan Van der Stadt, directeur général : « Avec Wycor, le maître d’ouvrage et l’architecte s’adressent directement à nos ingénieurs internes qui possèdent l’expertise dans chaque domaine de parachèvement, afin de rechercher des solutions. Nous voulons ainsi être totalement impliqués dans le projet. » Par son organisation atypique, l’entreprise est parvenue à hausser le niveau d’implication pour le parachèvement à celui existant traditionnellement pour la stabilité par exemple. La recherche de solutions se déroule donc au plus haut niveau plutôt qu’avec des (sous-)sous-traitants. C’est pourquoi Wycor se présente comme « Co-créateurs Paracheveurs ». Wycor dispose d’ailleurs d’une cellule Design & Build pour capitaliser sur sa riche expertise.

C’est donc logiquement dans les projets complexes que Wycor peut le mieux faire valoir sa valeur ajoutée, en misant sur une relation à long terme avec le client, basée sur la qualité de ses prestations. Ce n’est donc pas un hasard si on retrouve l’entreprise impliquée dans presque tous les hôpitaux du pays… de l’UZ à Roulers au CHIREC Delta à Bruxelles en passant par le CHU Tivoli à La Louvière et par le CHWAPI tournaisien. Benoît Marcin : « Il s’agit souvent de chantiers menés sur des sites qui restent en activité, ce qui implique réduction des nuisances, gestion pointue de la mobilité et des approvisionnements, … 

Wycor fabrique dans son atelier à Wetteren tout ce qui est bois, matériau durable s’il en est, avec une grande fierté, proportionnelle à la qualité fournie par ses propres ouvriers. Tous les déchets de production retournent directement chez les fournisseurs pour être recyclés dans de nouveaux panneaux. De plus, l’entreprise conseille ses clients sur la solution la plus durable, quel que soit le matériau, en se basant sur l’ensemble des paramètres. Un ingénieur Wycor est d’ailleurs spécialisé dans ces calculs de durabilité. Car la demande est de plus en plus présente. Quant à l’engagement durable de Wycor par rapport à son propre fonctionnement, il fait actuellement l’objet d’un processus de certification par lequel l’entreprise vise le niveau 3 de l’échelle de performance CO2.