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Tout pour la collecte et la gestion des eaux pluviales
Bassin de rétention pour les terrains de paddle à Waremme.

Tout pour la collecte et la gestion des eaux pluviales

Privé ou public, que vous soyez à la recherche d’expertise et/ou du matériel adéquat pour gérer les eaux pluviales de la manière la plus efficace possible, nous avons un bon tuyau pour vous : l’entreprise liégeoise Superplastic est un véritable gisement de solutions adaptables à toute situation, le service en prime ! Dérèglement climatique oblige, elle est actuellement sollicitée de toutes parts pour que la vie reste un long fleuve tranquille.

Bassin de rétention de 1150 m³ sur le chantier SITEL à Engis.

Si la gestion des eaux usées est assez facilement gérable au vu des quantités relativement ponctuelles et quantifiables, il n’en va pas de même pour les eaux pluviales. Chaque gros orage est là pour nous le rappeler, parfois cruellement. Il faut donc prévoir l’imprévisible voire se préparer au pire. Bien entendu, il s’agit avant toute chose d’essayer de garder l’eau au maximum sur place, grâce notamment à des revêtements perméables, pour favoriser son infiltration dans le sol. Nous vous avons déjà décrit dans ce magazine quelques solutions imaginées par Superplastic. Jean de Brouwer, directeur commercial de Superplastic : « Le bureau d’études avec qui nous travaillons va étudier risques et débits, la gestion des eaux, sa rétention et son utilisation. Équiper une maison unifamiliale d’une citerne de 5000 litres est totalement dépassé, le double est nécessaire si l’on veut réellement utiliser l’eau collectée. Avec des périodes de sécheresse toujours plus longues, il n’y aura pas d’autre solution que d’utiliser chaque goutte de ce que l’on va de plus en plus appeler l’or bleu. » Ce qui demande une vraie gestion des eaux de pluie collectées, pour laquelle Superplastic dispose à la fois de l’expertise et du matériel requis. « Nous sommes très bien positionnés, avec tout ce qu’il faut pour satisfaire le client, dont une très vaste gamme de solutions pour l’optimalisation de réseaux d’égouttage, mais également pour le traitement de l’eau collectée. »

Bassin de rétention en ligne 243 m³ au Trilogiport à Bierset.

Ne pas négliger l’entretien

Mettre en place une solution – enterrée ou à ciel ouvert – est une chose, encore faut-il l’entretenir pour garantir son bon fonctionnement dans le temps. Sans traitement des eaux, la sédimentation va boucher petit à petit le bassin d’orage. Jean de Brouwer : « C’est clairement là que le bât blesse : les communes ne disposent souvent pas de moyens pour assurer l’entretien. Nous leur proposons des contrats peu coûteux, grâce auxquels elles ne doivent pas mobiliser leurs ouvriers pour cette tâche fastidieuse mais nécessaire. »

Les systèmes à ciel ouvert peuvent apporter une réelle plus-value esthétique mais demandent également d’être entretenus. « Au Grand-Duché, nous avons ainsi réalisé un très beau projet dans un lotissement, alliant esthétique et fonctionnalité. Un bassin naturel a été créé avec une géomembrane, avec un niveau d’eau constant grâce à des avaloirs en son centre qui évacuent l’excès d’eau dans un bassin enterré sous-jacent. » 

Par rapport au béton, opter pour une chambre en matériau synthétique demande une étude complète au préalable, afin de définir où les canalisations vont être raccordées. Mais cette contrainte est plus que compensée par une légèreté facilitant la manipulation du produit, une longévité incomparable et souvent une recyclabilité prouvée.

Unité de pré-traitement Sedipipe au PAE d’Amay.

Gérer la pression

Même avec le meilleur matériel, la qualité de la solution passe par une mise en œuvre selon les règles de l’art. Les entrepreneurs chargés de la pose sont soumis à une forte pression. Xavier Cornet, commercial interne chez Superplastic : « Tous les travaux effectués sur la voie publique sont en effet contrôlés et revérifiés par endoscopie pour s’assurer que tout a été fait correctement. Les entrepreneurs veulent par conséquent être sûrs de la qualité du produit qu’ils posent, de sa facilité de mise en œuvre, … Nous sommes là pour réagir au quart de tour afin de les accompagner au besoin, et ce pour l’ensemble des produits que nous vendons. » 

Une autre forme de pression est celle exercée par l’eau sur les fondations d’un bâtiment. Là aussi, Superplastic propose tous les produits utiles.    

Cuve en PEHD de 52 m³ au Hall sportif de la Gadale à Jodoigne.

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