De la rénovation d’égouts à la pose d’asphalte et de la construction neuve à l’entretien de bâtiments : depuis ses origines à Nuth (Pays-Bas) en 1950, Van de Kreeke est actif dans les travaux d’infrastructure pour devenir au fil des ans une entreprise de construction polyvalente. Environ 200 personnes y travaillent, dont 2 grutiers. Depuis mars 2019, le grutier Wim Waelen travaille avec beaucoup de plaisir sur sa Liebherr A916 sur pneus avec engcon découplable, attache rapide QS60, bloc EC-Oil et système de commande DC2 avec commande des roues et GPS.
« Cette machine rend mon travail d’excavation plus rapide et efficace. J’atteins tous les recoins, et dois me déplacer moins souvent », explique Wim Waelen enthousiaste. « Le système de commande DC2 me permet de travailler avec beaucoup plus de fluidité et les joysticks MIG2 sont très agréables. » Le conducteur est également satisfait du GPS combiné avec le capteur de rotation. Mais c’est surtout la commande des roues avec les joysticks qui séduit Wim Waelen : « Cela permet de garder le godet ou la charge toujours sous contrôle pendant les déplacements. Pas besoin de lâcher les joysticks, c’est vraiment l’idéal. » L’attache rapide QS60 avec EC-Oil fait gagner beaucoup de temps lors du (dé)couplage du tiltrotateur ou de la pince à blocs. Wim Waelen :
« Parce c’est si facile, on travaille vraiment plus vite. Nous travaillons souvent en Belgique, où beaucoup est réalisé en béton. C’est totalement différent que le sable souvent utilisé aux Pays-Bas. Pour les travaux les plus grossiers, j’enlève donc régulièrement le tiltrotateur. »
Les différents outils plaisent également au grutier : « Avec ses angles biseautés, le godet de curage marche bien sous le tiltrotateur. Même un peu plus lourd, il fonctionne parfaitement. Le godet de tranchées attaque quant à lui bien le sol, grâce à sa longueur. Le godet de 60 cm me permet de bien arriver sous les câbles et les conduites, mais c’est surtout la pince intégrée que je trouve un super outil. Je l’emploie des dizaines de fois par jour, pour les tâches les plus diverses. Mes collègues du terrassement en sont aussi très contents, car il épargne leur dos. »
S’il fallait citer un projet dans lequel la machine a montré toutes ses qualités, ce serait bien la rénovation de la grand-place à Hasselt. Wim Waelen : « Nous nous chargeons de tout, de la pose du nouvel égouttage ou de la rénovation de l’existant jusqu’au nouveau revêtement et aux plantations. Sans tiltrotateur, il n’aurait pas été possible de travailler dans les rues étroites avec les passants faisant leurs courses. On devient vite accro à la facilité d’utilisation, je ne peux pas m’imaginer travailler sans cette machine. Mieux encore, nous allons installer un tiltrotateur sur notre seconde grue. »
Van de Kreeke se présente sous le signe de la qualité, de l’implication et du professionnalisme. Ces trois aspects ont également guidé le processus d’investissement. Wim Waelen s’est plongé dans le marché des tiltrotateurs, afin de composer ce qui sera pour lui la machine ultime. Après avoir visité des foires, parlé avec des confrères, suivi des formations, exploité les possibilités d’internet, Facebook et Youtube, il a présenté un rapport détaillé à son directeur Serge Vreuls. « Il me fallait le convaincre », se souvient Wim Waelen. « Il doit comprendre mon travail, en quoi un tiltrotateur avec tous ses accessoires peut m’aider et donc les bénéfices qu’il représente. Mon rapport a fait mouche. Car on ne parle pas de ce que la machine coûte à l’heure, mais bien de la quantité de travail supplémentaire que je parviens à abattre en une heure. Je travaille maintenant beaucoup plus rapidement, avec plus de facilité et de précision. Cela fait gagner du temps mais aussi de l’argent. »
Durant ses 32 années passées comme conducteur d’engins, Wim Waelen a vu le travail évoluer significativement. La part de travail manuel a sans cesse diminué, alors qu’augmentait l’attention pour de meilleures conditions de travail, dont la sécurité, l’ergonomie du poste de conduite, la température à l’intérieur de la cabine, … Les machinistes peuvent ainsi travailler plus longtemps et en meilleur santé. Et Wim Waelen (55) n’a pas encore l’intention d’arrêter.