Sur les hauteurs de Namur à Loyers, dominant la vallée de la Meuse tout en étant relié directement au réseau autoroutier, le Namur Office Park met un point final à un projet de qualité dont le premier bâtiment fut livré en 2007. Un environnement de travail flexible et modulable et une situation exceptionnelle dont il est encore possible de profiter. Mais plus pour longtemps !
Travaillant pour le promoteur Skyline Europe – Triple Living, Cedric Heeren suit ce projet depuis… 2003. Il en a connu toutes les péripéties et les évolutions. Comme l’installation sur le site d’un magasin Decathlon, dont la parfaite intégration dans l’ensemble le réjouit : « Les ghettos de bureaux ne sont aujourd’hui plus à l’ordre du jour. Les clients recherchent les projets qui combinent plusieurs fonctions, qui animent le site du lundi au dimanche, pendant et après les heures de bureaux ».
Depuis 2007, ce sont donc cinq immeubles de quatre niveaux à l’aspect similaire qui sont sortis de terre, pour une superficie brute de 20 500 mètres carrés. Ces cinq immeubles desservis par une voirie périphérique distribuant environ 500 emplacements de parking sont construits sur « pilotis », conférant à l’ensemble une certaine légèreté. Les architectes en sont l’Atelier de l’Arbre d’Or associé au bureau Montois Partners Architects.
Si le centre d’affaires Burogest (qui loue notamment des salles de réunions à la carte) fut le premier partenaire en investissant progressivement la totalité du premier bâtiment puis une partie du deuxième, de nombreuses autres entreprises ont été séduites par l’offre au point d’y installer leurs bureaux. Il faut dire que, directement connecté à l’E411 quelques kilomètres au sud de l’échangeur de Daussoulx, l’accessibilité en voiture est optimale, de même que la grande disponibilité de places de parkings. La banque ING ne s’y est pas trompée et a donc installé un business center régional sur le site. Le dernier emménagement en date est celui de la Société Wallonne des Eaux, qui occupe une partie du cinquième et dernier immeuble. Celui-ci a d’ailleurs ceci de particulier qu’il est traversé par un mur mitoyen faisant la séparation entre les numéros postaux 10 (SWDE) et 12 (le reste de l’immeuble, dont une partie est déjà occupée par la fédération patronale d’institutions de soins de santé Santhea. Les 3 étages sont encore disponibles, soit environ 2200 mètres carrés, divisibles à partir de plus ou moins 350 mètres carrés.
Bien entendu, les bureaux bénéficient des plus récentes avancées en matière de performances énergétiques. Cedric Heeren : « Du premier immeuble livré en 2007 au cinquième et dernier bâtiment en cours de finalisation, on peut constater l’évolution des exigences énergétiques, notamment en termes d’épaisseur d’isolation, de techniques moins énergivores), … ».
Vus de l’extérieur, les bâtiments frappent par leur intégration au cadre verdoyant, notamment par le choix des matériaux, mais aussi par leur « casquette » faisant office de pare-soleil. Les employés profitent à plein de l’abondante lumière naturelle qui pénètre via les importantes surfaces vitrées, tandis que les services et circulations sont regroupés dans un noyau central.
Les façades sud et ouest sont équipées de protections solaires extérieures. Cerise sur le gâteau : tous les bureaux jouissent d’une vue magnifique sur le paysage vallonné de la vallée de la Meuse.
Un autre atout du Namur Office Park est la conception des plateaux axée sur une modularité permettant d’aménager facilement des bureaux de toutes tailles. Cedric Heeren : « Visuellement, les cinq bâtiments présentent un aspect identique. Par exemple, ce que nous n’avons jamais voulu modifier parce que cela s’est avéré un succès dès le début, c’est la trame des façades-rideaux, avec un châssis tous les 90 et 180 cm. En dehors des plateaux paysagers, il est ainsi possible de créer des bureaux individuels de 270, 360 cm…. Ce qui offre une grande flexibilité d’aménagement par rapport à d’autres immeubles dont la trame unique est fixée à 125 cm. »
On l’aura compris, les entreprises intéressées ont intérêt à se faire connaître rapidement car il s’agit des tout derniers plateaux disponibles sur ce site d’exception. D’autant que, dès 350 mètres carrés, il est exceptionnellement possible d’acheter plutôt que de louer. Cedric Heeren : « Les taux d’intérêt étant actuellement très bas, nous avons de nombreux clients intéressés à faire l’acquisition de bureaux pour leurs activités professionnelles. Ce qui leur permet de récupérer la TVA. Il s’agit donc d’une formule fort avantageuse, uniquement valable pour les derniers plateaux disponibles. »