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Consolider la durabilité
L’ecocentre de Bierset : un exemple concret de la volonté d’Eloy de promouvoir l’économie circulaire dans la construction.

Consolider la durabilité

Actif également dans le traitement des eaux à côté de son activité Construction, le groupe Eloy a toujours été respectueux des hommes et de l’environnement. Précurseur dans ses deux domaines d’activité, il fut notamment l’un des premiers à disposer de son propre recyparc dès les années 90. Plus récemment, la troisième génération familiale a décidé de donner une colonne vertébrale à ses initiatives de développement durable en intégrant la durabilité dans la stratégie d’entreprise, avec Olivier Eloy comme sponsor.

Pour accélérer la transition vers plus de durabilité au niveau de l’entièreté du groupe, Eloy a créé une fonction transversale dédiée, qu’occupe désormais à plein temps Lounis Azibi, secondé par Martin Huberland. Lounis Azibi : « La gouvernance est l’une des clés de la réussite. Sans la création de ce poste, nous en serions restés à des initiatives ad hoc. »

Eloy a répondu avec succès à un appel à projets de la Région wallonne pour se faire accompagner par un consultant spécialisé en développement durable. Lounis Azibi : « Nous sommes partis des 17 objectifs de développement durable de l’ONU, embrassant les dimensions sociales, environnementales et économiques, pour déter­miner sur quels points Eloy peut agir et mieux faire. Une feuille de route regroupant 3 piliers stratégiques ainsi que divers programmes concrets a été rédigée. Afin de communiquer simplement et efficacement, nous avons associé une ambition à cette feuille de route. »

Des panneaux photovoltaïques sont placés sur les plus grandes toitures du site de Sprimont (ici le hall de production de cuves)

Ambition à l’horizon 2027

L’ambition du Groupe se décline en 3 volets : 0 accident pour l’homme et son environnement, 30% de réduction de l’impact environnemental en 5 ans et 100% de performance.

Le premier volet concerne la santé et la sécurité au travail, mais aussi l’absence de pollution sur le chantier.

Le second volet ne se limite pas à viser 30% de réduction des émissions de CO2, même si, en tant que constructeur, Eloy peut avoir un impact significatif en la matière, l’industrie de la construction représentant environ 10% du bilan carbone de la Belgique. Eloy va donc par exemple rechercher des substituts pour chaque composante du béton, afin de produire du béton avec le plus faible impact CO2 possible. La problématique énergétique est également prise à bras le corps, entre autres via un audit portant sur le fonctionnement des entités opérationnelles. Les engins de chantier sont progressivement renouvelés pour toujours disposer des machines les plus performantes et les moins énergivores. Les véhicules de société passent à l’électrique et non moins de 1800 panneaux solaires entreront bientôt en fonction sur le site de Sprimont.

Lounis Azibi : « En matière de transition durable, Eloy ne veut pas être un suiveur, mais un précurseur. Et cela porte déjà ses fruits. Les clients privés, eux-mêmes en transition, sont de plus en plus attentifs à un positionnement durable de l’entrepreneur, outre les critères classiques de prix, qualité et délai. Notre ecocentre de Bierset nous permet de briguer une place de choix dans les marchés où la circularité est importante, de même que nos compétences en déconstruction et assainissement des sols. » A Bierset, Eloy compte développer au maximum son catalogue de produits recyclés pour viser des qualités BENOR. L’étape suivante, à savoir le réemploi de matériaux, est déjà initiée, la clé ici étant de faire circuler l’information pour faire circuler la matière.

Le troisième volet de la vision concerne le savoir-et le savoir-faire, pour 100% de satisfaction client et collaborateur.

Le projet de verdurisation du fleet participe à la réduction de l’empreinte carbone.

Développement(s) durable(s)

Si, dans son rôle d’exécutant, Eloy a un pouvoir d’influence limité sur ses clients, il en va tout autrement quand il endosse son costume de développeur de projets. Eloy cultive en effet l’ambition de diminuer son impact sur les écosystèmes. C’est ainsi qu’il construira de préférence sur des friches industrielles que sur des terrains vierges. Le groupe travaille actuellement à la revitalisation de deux brownfields qu’il a acquis en bord de voie d’eau, à Engis et Haccourt. Des terrains devenus rares en région liégeoise, où la demande est supérieure à l’offre. Comme à son habitude, Eloy veut faire bien les choses, multipliant les initiatives pour en faire de futurs sites industriels exemplaires, grâce à une parfaite intégration dans le tissu local. 

Outre l’aspect environnemental, le développement durable passe aussi par le social. Initiative parmi d’autres, l’Eloy Academy va former des travailleurs à deux métiers en pénurie : chef d’équipe et deviseur. Lounis Azibi : « Tout ce qui est mis en place est inspiré de l’envie de bien faire, pour tous – y compris l’environnement. »  

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